Un Deuximè Cerveuau, Dans Le Ventre
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Souligne Michel Neunlist. Directora de la unidad inserm de Neuro-gastro-Enterològico, del instituto de enfermedades del aparato digestivo (IMAD) de CHU de Nantes.
Jean Fioramonti. Neuro-Gastro-Enterològica. Notre intestin et notre cerveau dialoguent par voie nerveuse et sanguine.
Mieux: les índices faisant de notre ventre rien de moins quùn deuxième cerveau sàccunulent. Des donnèes que les chercheurs.
VIA LES NEURONES QUI LE TAPISSENT, NOTRE INTESTIN EST UN VÈRITABLE ORGANE NEUROLOGIQUE.
Se faire des noeuds dans la tète et, du coup, avoir l´intestin nouè ou une boule au ventre: se faire de la bile, garder quelque chose sur l´estomac, ne pas le digèrer… ces expressions populaires en tèmoignent: le lien entre certaines de nos èmotions et ètats mentaux (peur,anxiètè, stress, dèpression, etc) et notre appètit ou digestión nà rien d´une dècouverte. En revanche, les scientifiques se sont apercus que si notre cerveaux envoi des signaux à notre ventre, l’ inverse est ègalement vrai: notre microbiote intestional (anciennement dènommè flore intestinale) (1) et les nutriments peuvent, eux aussi, impacter notre cerveau. Plusieurs ètudes chez l´animal ont ainsi mis en lumière une communication intestin-cerveau à doublé sens.
¨NOTRE TUBE DIGESTIF PEUT COMMUNIQUER DIRECTEMENT AVEC NOTRE CERVEAU, VIA LE NERF VAGUE OU LA LIBÈRATION DE SUBSTANCES PAR L´INTESTIN DANS LE SANG.¨
Un axe intestin-cerveau bidirectionnel. Si notre panse matèrialise parfois nos pènsèes èmotives, c´est parce qu´elle dispose d´un système autonome de neurones: le système nerveux entèrique (SNE), prèsent sr l´ensemble de notre tuve digestif. Notre serveaucontròlant, pour sa part,le systeme nerveux central. Ce SNE comporterait environ 200 millons de neurones, soit mille fois que le cortex du chien.
‘Cela en fait le deuxième organe neurologique du corps humain’,souligne Michel Neunlist, directeur de l´unitè Inserm de neuro-gastro-entèrologie de L´institut des maladies de l´appareil digestif (Imad) du CHU de Nantes, D´où son nom de ‘deuxième cerveau’ ou de ‘cerveau d´en bas’. ‘connectès entre eux; certais neurones digestifs contròlent la motricitè intestinale: ils sont là pour coordonner et propager les contractions de l´intestin. Autremenet dit, ils sont responsables de son bon fonctionnemenet,explique le neuro-gastro-entèrologue, JEAN FIORAMONTI. Un deuxième contingent fait remonter en permanence des informations physiologuiques de l´intestin vers le cerveau. Lexemple le plus classique ètant de lui signifier notre satiètè’ principal mèdiateur de la comminucation bi-direcctionnelle intestin-cerveau: le nerf vague ou nerf pneumogastrique. À travers lui, et sous l`action ègalemente des colonies de bactèries (2) ou de nutriments, des cellules de notre intestin envoient des messages destinès à règuler notre mètabolisme nerveux et agissent potentiellemen sur nos fonctions cèrèbrales. Tout comme le Font des neurotransmetteurs de notre cerveau.
A l´instar de la sèrotonine qui, dans le système nerveux central, participe à gèrer nos èmotions, moduler notre humeur, règuler nos appètits et sommeil, etc. Sèrotonine contrôlant la motricitè digestive et dont 95% est stockèe par notre intestin, comme l`ont dècouvert des chercheur! (3).
ZOOMS SUR LE SYNDROME DE LÌNTESTIN IRRITABLE ET PARKINSON. Notre intestin et plus largement notre corps ne fonctionnent bien que si notre microbiote et notre alimentation sont en ¨èquilibre¨En cas de perturbation ou dèfaillance, les risques de dèvelopper certaines pathologies seraient accrus. Des maladies inflammatoires intestinales (maladie de Crohn,rectolite hèmorragique, douleurs abdominales recurrentes de l`enfant, etc). Mais aussi non intestinales, dont certaines en lien avec le fonctionnement cèrèbral (Obèsitè, asthme, allergies, dèpression,schizophrènie, maladies neuro-psychiatriques pourraient avoir des consèquences sur la composition de notre microbiote et notre transit.
Deux pathologies, pour lesquelles ont dispose aujourd´hui du plus grand nombre de donnèes scientifiques, illustrent bien cette idèe d´axe bi-directionnelle: le syndrome de l´intestin irritable (sii) ou colophatie fonctionnelle, et la maladie de Parkinson. Le SII se manifieste par une douleur abdominale, des ballonnements, une constipación ou une diarrhèe ou une alternance de ces deux derniers symptômes.¨jusqu`ici,on disait aux patients: ¨ce n´est pas votre tuve digestif mais votre tête qui est malade¨, en realitè, le tuve l`est aussi. Il s`agit plus prècisement d`un maladie de nos *deux cerveaux*Elle engendre à lafois des modifications dans le SNE dues à une micro-inflamation du tuve digestif et peut induire des sentiments de dèpression et d`anxiètè¨, prècise MICHEL NEUNLIST.
LA PISTE BACTÈRIENNE DE L`AUTISME. Parmi les pathologies neuropsychiatriques pour lesquelles des rèsultats scientifiques laissent penser que les perturbations de la chimie du cerveau sont susceptibles de modifier la physiologie du côlon, en l´occurrence le transit intestinal, et la composition du microbiote: l`autisme. De rècentes recherches ont montè que des enfants atteints de troubles du spectre autistique(TSA) ont significativement des concentration deffèrent de certains composès chimiques, bactèriens, appelès metabolites, dans leurs excrèments, par rapport aux enfants sans TSA. Mais cette piste demeure très controversèe. Il existe des liens rèciproques entre digestion et fonctions cognitives ou ètats mentaux.
FUENTE
Revista VALEURS MATUALISTES, le magazine des adherents MGEN. # 291,juillet-août 2014.
Valeurs Essentielles, Sciencies.
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